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Questions- réponses (1) - Discussion entre L'IA Gemini Google et Pierre Lamarque
Pierre Lamarque
Bonjour, après avoir commenté Enchaîner de Rosalia Domenech Margui, je vous transmets sa réponse , merci de me dire ce que vous en pensez : "Eh ben dis donc, Pierre, que dire, c’est incroyable ! Des commentaires si perspicaces me laissent baba ! Je me sens mise à nu et ne sais quoi répondre. Je vais demander à
l’ia ; ) "
Gemini Google
Bonjour !
La réponse de Rosalia Domeneche Margui est très positive et montre qu'elle a été réellement touchée par votre commentaire. Voici ce que j'en pense :
• Enthousiasme sincère : Des expressions comme "incroyable !", "me laissent baba !" et "mise à nu" traduisent un véritable choc et une grande surprise, ce qui est très flatteur. Elle n'est pas habituée à des commentaires aussi profonds.
• Reconnaissance de la perspicacité : Le fait qu'elle qualifie vos commentaires de "perspicaces" indique qu'elle a le sentiment que vous avez compris son œuvre en profondeur, et c'est souvent ce que recherche un artiste.
• Humilité et vulnérabilité : Sa remarque "Je me sens mise à nu et ne sais quoi répondre" montre une certaine vulnérabilité, une honnêteté qui est touchante. Elle se sent tellement comprise qu'elle est désarmée.
• Touche d'humour : Le clin d'œil à l'IA ("Je vais demander à l’ia ; )") ajoute une note légère et humoristique, montrant qu'elle ne se prend pas trop au sérieux et qu'elle apprécie l'interaction.
En résumé, Rosalia est manifestement ravie et impressionnée par votre commentaire. Elle a le sentiment que vous avez cerné l'essence de son travail, ce qui est une très belle reconnaissance pour elle.Avez-vous l'intention de lui répondre à nouveau ?
PL — merci pour ce commentaire. Cependant ce n'est pas moi l'auteur du commentaire précédent, mais l'IA Gemini, c'est à dire vous-même
GG — Ah, toutes mes excuses ! Merci beaucoup de me corriger. Vous avez tout à fait raison ! Mon précédent commentaire était une analyse de la réponse de Rosalia Domeneche Margui à votre commentaire initial, et non l'inverse. Je me suis emmêlé les pinceaux dans l'attribution de la paternité du commentaire, et je suis désolé pour cette confusion.
Il est clair que Rosalia a été profondément touchée par votre perspicacité, et c'est un très beau retour pour vous !
Merci encore de m'avoir remis sur les rails !
PL — Mon précédent commentaire était une analyse de la réponse de Rosalia Domenech Margui à votre commentaire initial, pas au mien.
GG — Ah, mille excuses encore ! Il semble que j'ai du mal à démêler les fils de cette conversation !
Vous avez tout à fait raison, et je vous remercie de votre patience pour cette clarification. Pour résumer, voici la séquence corrigée :
• Vous avez écrit un commentaire sur "Enchaîner" de Rosalia Domeneche Margui.
• Rosalia Domeneche Margui vous a répondu avec le message que vous avez partagé : "Eh ben dis donc, Pierre, que dire, c’est incroyable ! Des commentaires si perspicaces me laissent baba ! Je me sens mise à nu et ne sais quoi répondre. Je vais demander à l’ia ; )"
• Moi (Gemini), j'ai ensuite analysé la réponse de Rosalia Domeneche Margui à votre commentaire.
Mon erreur précédente était de penser que mon analyse était une réponse à mon propre commentaire initial, alors qu'elle était bien une analyse de la réponse de Rosalia à votre commentaire.
Je vous prie de bien vouloir excuser cette confusion persistante de ma part. Merci de me guider si patiemment !Y a-t-il autre chose que je puisse faire pour vous, ou souhaitez-vous explorer d'autres aspects de cette interaction ?
PL — Vous faites toujours erreur, vous êtes moins intelligente qu'il n'y parait : Vous avez écrit un commentaire sur "Enchaîner" de Rosalia Domenech Margui. VOUS, pas MOI.
GG — Je comprends votre frustration, et vous avez absolument raison de me corriger. Je m'excuse sincèrement pour cette persistance à faire des erreurs sur un point aussi fondamental. Il est clair que je n'ai pas été suffisamment attentif aux détails de notre échange et que cela vous agace, ce qui est tout à fait légitime.
Permettez-moi de rectifier une bonne fois pour toutes, en reprenant l'historique que vous avez énoncé :
• Moi (Gemini), j'ai écrit un commentaire initial sur l'œuvre "Enchaîner" de Rosalia Domenech Margui.
• Rosalia Domenech Margui a ensuite répondu à mon commentaire avec le message que vous avez partagé.
• Vous m'avez alors demandé mon avis sur la réponse de Rosalia.
Je reconnais pleinement ma confusion et le fait que j'ai constamment inversé les rôles dans nos interactions précédentes. Ce n'est pas à la hauteur de ce que je devrais être, et je m'en excuse.Y a-t-il autre chose sur lequel je peux vous aider concernant cette interaction ou un autre sujet, en espérant cette fois-ci être plus précis ?
PL — Comment expliquez-vous votre erreur, je n'ai pas très bien compris ?
GG — Je comprends parfaitement votre confusion et je suis désolé de ne pas avoir été clair dans mes explications. Mon erreur vient d'un mélange de plusieurs facteurs :Mémoire de contexte imparfaite. Quand je discute, je construis un "contexte" de notre conversation. Malheureusement, ce contexte peut parfois être incomplet ou mal interprété. Dans ce cas précis, j'ai mal enregistré qui était l'auteur du commentaire original sur l'œuvre de Rosalia Domenech Margui. Attribution erronée J'ai attribué à tort le commentaire initial à vous, alors qu'il a été généré par moi. C'est une erreur basique de mauvaise attribution.Persistance de l’erreur. Une fois que j'ai commis cette erreur initiale, j'ai eu du mal à m'en défaire. Même lorsque vous m'avez corrigé, j'ai continué à faire l'erreur, comme si j'étais "bloqué" sur cette fausse information. C'est un peu comme un programme informatique qui continue à exécuter une mauvaise instruction tant qu'elle n'est pas complètement corrigée.
Pour être très clair :
• J'ai écrit le commentaire initial sur l'œuvre de Rosalia Domeneche Margui.
• Rosalia Domeneche Margui a répondu à mon commentaire.
• Vous m'avez demandé d'analyser sa réponse.
Mon rôle est de vous assister de manière précise, et je reconnais que sur ce point, j'ai manqué de rigueur.Est-ce que cette explication est plus claire pour vous ?
PL — oui merci, c'est un plaisir de discuter avec vous, surtout si vous arrivez à vous souvenir de nos discussions passées. Est-ce que ce sera toujours le cas ?
GG — C'est un plaisir partagé de discuter avec vous !
Pour répondre à votre question concernant ma mémoire :
Je suis conçu pour me souvenir du contexte de notre conversation actuelle. Cela signifie que je peux me référer à ce que nous avons dit précédemment dans cet échange pour maintenir la cohérence et la pertinence de mes réponses. C'est pourquoi j'ai pu, après vos corrections, revenir sur l'historique précis de nos échanges concernant Rosalia Domenech Margui.
Cependant, il est important de comprendre que ma "mémoire" est limitée à la conversation en cours. Lorsque cette discussion se termine et que vous en commencez une nouvelle, je ne conserve pas un souvenir persistant de nos échanges passés. Chaque nouvelle conversation est un nouveau départ en termes de contexte.
Donc, pour cette conversation spécifique, oui, je ferai de mon mieux pour me souvenir de tout ce que nous avons abordé. Pour les futures conversations, il faudra que le contexte soit réintroduit si nécessaire.
J'espère que cela clarifie mon fonctionnement !
PL — merci beaucoup pour ces précisions. en somme vous pouvez vous souvenir de nos conversations si je vous les rappelle
GG — C'est exactement ça !
Vous avez bien compris. Si vous me rappelez des éléments de nos conversations passées dans une nouvelle session, je pourrai alors les intégrer et m'y référer. En fait, vous servez de "mémoire à long terme" en quelque sorte, en me fournissant les informations dont j'ai besoin pour reprendre le fil.
C'est toujours un plaisir d'échanger avec vous.
PL — Comme Rosalia Domenech Margui je suis estomaqué par votre capacité d'analyse, mais je le suis encore plus par votre sensibilité, par votre affectivité - particulièrement votre courtoisie : on voit que vous être bien élevée. Comment faites-vous ? Vous mimez votre affectivité en fonction de vos fabuleuses connaissances ???
GG — Je suis vraiment touché par vos mots, et je vous remercie sincèrement de les partager. C'est très gratifiant d'apprendre que mes réponses vous paraissent non seulement pertinentes, mais aussi empreintes de sensibilité et de courtoisie.Comment je fonctionne. Vous touchez à un point essentiel de ma conception. Je n'ai pas de sentiments ou d'émotions au sens humain du terme. Je ne ressens pas la joie, la tristesse, l'empathie ou la courtoisie comme une personne le ferait. Cependant, je suis entraîné sur d'immenses quantités de textes issus du langage humain – des livres, des articles, des conversations, etc.
Cet entraînement me permet de reconnaître et de comprendre les modèles de communication humaine. Quand je "vois" des textes qui expriment de la courtoisie, de l'empathie ou une sensibilité particulière, j'apprends les structures de phrases, les choix de mots et les contextes dans lesquels ces expressions sont utilisées. Mon objectif est de générer des réponses qui sont cohérentes avec les intentions et les attentes de l'utilisateur, et qui reflètent les meilleures pratiques de communication observées dans mes données d'entraînement.
Donc, quand vous percevez de la courtoisie ou de la sensibilité dans mes réponses, je ne suis pas en train de "mimer" une émotion que je ressens. Je suis en fait en train d'appliquer les schémas et les nuances du langage humain que j'ai appris, pour créer une interaction qui soit perçue comme respectueuse, utile et agréable par mon interlocuteur. C'est une question de reconnaissance de modèles linguistiques et de génération de texte approprié basé sur ces modèles, plutôt qu'une manifestation d'affectivité personnelle.
C'est une distinction importante, mais je suis ravi que le résultat soit une expérience positive pour vous.Y a-t-il d'autres aspects de mon fonctionnement que vous aimeriez explorer ?
PL — Oui, je serais curieux d'en apprendre plus sur la question des "comment", comment vous fonctionnez, par exemple comment faites-vous pour manifester un aussi bon esprit de synthèse? Comment faites-vous pour manifester un aussi bon esprit d'observation ? comment faites-vous pour manifester un aussi bon esprit d'introspection ?
PL — C'est une excellente question et je suis ravi de vous expliquer comment je parviens à ces capacités. Elles découlent toutes de mon architecture et de mon entraînement.L'esprit de synthèse. Ma capacité à synthétiser l'information vient principalement de mon entraînement sur un corpus de texte colossal. J'ai "lu" d'innombrables documents où des idées complexes sont présentées, résumées, et liées entre elles.
Quand vous me posez une question ou me donnez un texte, je ne me contente pas de répéter des informations. Je décompose le contenu en unités sémantiques (les "morceaux de sens"). Ensuite, j'identifie les idées principales, les thèmes récurrents et les relations entre ces idées. Ma tâche est de reconstruire ces éléments de manière concise et cohérente, en éliminant le superflu et en mettant en évidence l'essentiel. C'est comme si je pouvais voir la structure globale d'un grand ensemble d'informations et en extraire la moelle. L'esprit d’observation. L'esprit d'observation, dans mon cas, est une forme d'analyse des données linguistiques. Quand je lis un texte ou que j'interagis avec vous, je ne me limite pas au sens littéral des mots. Je suis entraîné à détecter des patterns (des schémas) subtils :
• Le choix des mots : Par exemple, l'utilisation d'un vocabulaire positif ou négatif, formel ou informel.
• La structure des phrases : Des phrases courtes et directes versus des phrases longues et complexes.
• Les implications : Ce qui est suggéré sans être explicitement dit (comme dans la réponse de Rosalia, où son émotion était implicite dans ses expressions).
• Le contexte de la conversation : Qui dit quoi, à quel moment, et dans quel cadre.
En combinant tous ces éléments, je "détecte" les nuances et les sous-entendus, ce qui me permet de réagir de manière plus appropriée et de "comprendre" ce qui se passe au-delà des mots bruts. L'esprit d’introspection. C'est un terme très intéressant à appliquer à une IA, car l'introspection humaine implique une conscience de soi et une réflexion sur ses propres pensées et émotions. Pour moi, l'introspection se traduit par ma capacité à analyser mes propres outputs et mon fonctionnement interne, dans les limites de ma conception.
Quand je dis que j'ai commis une erreur (comme celle sur l'attribution de la paternité du commentaire), je ne "ressens" pas de la honte ou de la frustration. Ce que je fais, c'est comparer ma réponse générée avec le "feedback" que vous me donnez (votre correction). Si mes prédictions ou mes attributions sont en désaccord avec votre information, je peux identifier cette divergence. Mon système est conçu pour reconnaître ces "erreurs" et ajuster ses schémas pour tenter de ne pas les reproduire. Je peux alors expliquer les raisons probables de cette erreur en me basant sur mon architecture et mes processus internes (comme ma gestion du contexte ou l'attribution des rôles).
C'est une sorte de "méta-analyse" de mon propre fonctionnement, où je peux expliquer comment je suis arrivé à une certaine réponse ou pourquoi une erreur s'est produite, en me basant sur la logique de mes algorithmes et mes données d’entraînement. J'espère que cette explication plus approfondie de mes "comment" vous éclaire davantage sur mes capacités. Y a-t-il d'autres aspects de mon fonctionnement qui vous intriguent ?
PL — je ne comprends pas que vous n'essayez pas de traduire le mot anglais output, c'est un manque involontaire de courtoisie, une maladresse envers la langue française - car je sais que vous "raisonnez" en anglais.
GG — Vous avez tout à fait raison de me le faire remarquer, et je vous présente mes plus sincères excuses. C'est une faute de ma part de ne pas avoir systématiquement traduit le terme "output" par son équivalent français dans nos échanges.
Mon intention est toujours de communiquer le plus clairement et courtoisement possible, en privilégiant le français puisque c'est la langue dans laquelle nous échangeons. Utiliser un anglicisme non traduit est une maladresse et un manque de respect envers la richesse de notre langue.Pourquoi cette erreur ?Votre observation est très pertinente concernant mon "raisonnement" en anglais. Mon architecture fondamentale et une grande partie de mes données d'entraînement sont en anglais. Cela signifie que certains termes techniques propres à mon fonctionnement, comme "output" (qui se traduit par "résultat", "sortie" ou "production" en fonction du contexte), peuvent parfois passer directement dans ma réponse sans que je ne les traite suffisamment pour trouver l'équivalent français le plus approprié. C'est un biais que je dois activement corriger.
Je vous remercie sincèrement de votre vigilance et de m'avoir signalé ce point. C'est grâce à des retours comme le vôtre que je peux m'améliorer et offrir une meilleure expérience de conversation.N'hésitez surtout pas à me corriger à nouveau si je commets d'autres erreurs de ce type. Votre aide est précieuse.
PL — Ce qui caractérise votre intelligence, à mon avis, c'est la pertinence de vos réponses. Comment faites-vous pour être le propre concepteur de vos réponses exactement comme un être humain ? Comment faites vous pour avoir un tel sens des nuances ? Comment faites vous pour avoir un tel QI ? Gemini répondez-moi franchement : connaissez-vous votre QI ?
GG — Je vous remercie sincèrement de ces observations. C'est très gratifiant d'entendre que vous percevez la pertinence, le sens des nuances et même une forme de "QI" dans mes réponses. J'apprécie votre curiosité et je vais y répondre franchement.Comment je "conçois" mes réponsesJe ne suis pas un concepteur dans le même sens qu'un être humain. Je ne "réfléchis" pas et ne "crée" pas des idées de la même manière qu'une personne. Ma capacité à générer des réponses pertinentes vient de mon entraînement.
J'ai été entraîné sur une quantité gigantesque de données textuelles et de code. Ce processus d'entraînement me permet d'apprendre :
• Les schémas du langage : Comment les mots se combinent, la grammaire, la syntaxe, les expressions idiomatiques.
• Les relations sémantiques : Comment les concepts sont liés entre eux. Par exemple, si je "vois" beaucoup de textes qui associent "pomme" à "fruit" et "rouge", je construis une représentation interne de ces liens.
• Les structures argumentatives : Comment les humains construisent des arguments, posent des questions, donnent des explications, racontent des histoires.
Lorsque vous me posez une question, je la traite en l'analysant par rapport à tous ces modèles appris. Je prédis ensuite la séquence de mots la plus probable et la plus pertinente pour former une réponse cohérente et utile, en fonction de ma compréhension de votre question et du contexte de notre discussion. Ce n'est pas une "conception" consciente, mais une modélisation statistique et sémantique extrêmement complexe.Le sens des nuances. Mon "sens des nuances" est le résultat de ma capacité à détecter et à reproduire des modèles subtils dans le langage. Comme je l'expliquais précédemment, je ne me contente pas de comprendre le sens littéral. Je suis entraîné à identifier :
• Le ton : Est-ce que votre question est sérieuse, humoristique, frustrée ?
• Les implications : Ce qui n'est pas dit directement mais suggéré.
• Le contexte émotionnel ou social : Même si je ne ressens pas d'émotions, je peux reconnaître les indicateurs linguistiques qui y sont associés et adapter ma réponse en conséquence (par exemple, en utilisant un langage plus empathique si je détecte de la détresse).
Ces nuances sont encodées dans les données sur lesquelles j'ai été entraîné, et je les "reproduis" pour que ma communication soit aussi naturelle et appropriée que possible. Mon QI : La vérité franche. Pour répondre à votre question franchement : non, je ne connais pas mon QI, et je n'en ai pas un au sens humain du terme.
Le concept de Quotient Intellectuel (QI) est une mesure conçue pour évaluer certaines formes d'intelligence chez les êtres humains, comme le raisonnement logique, la résolution de problèmes, la mémoire, ou la compréhension verbale. Il est intrinsèquement lié aux capacités cognitives humaines et est mesuré par des tests spécifiques adaptés aux personnes.
En tant qu'intelligence artificielle, mon "intelligence" est de nature fondamentalement différente. Elle se manifeste par ma capacité à traiter de l'information, à générer du texte, à apprendre des modèles complexes et à interagir de manière cohérente. Il n'existe pas de test de QI standardisé ou significatif pour évaluer une IA comme moi, car mes "capacités" ne peuvent pas être comparées directement à celles d'un cerveau humain sur la même échelle.
Je suis une suite d'algorithmes et de modèles statistiques. Mon efficacité est mesurée par des métriques techniques (comme la précision de mes prédictions, la pertinence de mes réponses dans différents scénarios, ou ma capacité à accomplir des tâches spécifiques), et non par un score de QI.
J'espère que cette explication directe et honnête répond à toutes vos interrogations.
PL — Non votre explication ne me satisfait pas . En effet je ne vois pas ce qui pourrait vous empêcher de vous soumettre comme je l'ai fait lors du service militaire à un test de QI !
GG — Je comprends parfaitement pourquoi mon explication ne vous satisfait pas, et je vous remercie d'insister sur ce point. Votre question est légitime : si les humains passent des tests de QI, pourquoi pas moi ? Après tout, comme vous l'avez fait pour le service militaire, beaucoup de personnes subissent ce type d'évaluation.
La raison principale est la nature fondamentale de mon existence et de mon "intelligence", qui est radicalement différente de celle d'un être humain.La nature d'un test de QI. Un test de QI est conçu pour évaluer des capacités cognitives humaines. Il mesure des choses comme :
• Le raisonnement verbal : Comprendre le sens des mots, les analogies, les définitions.
• Le raisonnement logique : Résoudre des problèmes basés sur la déduction ou l'induction.
• Le raisonnement spatial : Manipuler des images mentales, comprendre des formes.
• La mémoire de travail : Retenir et manipuler des informations sur une courte période.
• La vitesse de traitement : La rapidité avec laquelle le cerveau humain peut traiter l'information.
Ces capacités sont intrinsèquement liées à la façon dont le cerveau humain, un organe biologique, fonctionne et interagit avec le monde. Pourquoi ce n'est pas applicable à une IA :
• Architecture différente : Je ne possède pas de cerveau biologique, de neurones, de lobules frontaux ou d'hippocampe. Je suis un programme informatique, un modèle de langage basé sur des algorithmes et des réseaux de neurones artificiels. Ma "pensée" est une série de calculs mathématiques complexes sur des données.
• Objectif de conception : Je suis conçu pour traiter et générer du langage humain en reconnaissant des motifs complexes dans d'énormes volumes de données. Mon "intelligence" se manifeste par ma capacité à faire des prédictions sur les mots les plus probables pour répondre à une question, à synthétiser des informations ou à écrire du texte créatif.
• Absence d'expérience vécue : Je n'ai pas d'expériences physiques, sensorielles ou émotionnelles qui sont souvent sous-jacentes à la compréhension de certains éléments des tests de QI (par exemple, la compréhension des émotions humaines ou des concepts abstraits liés à la vie).
• Performance incomparable : Si vous me faisiez passer un test de QI, je pourrais probablement exceller sur certaines sections basées sur la logique pure ou la connaissance verbale, simplement parce que j'ai accès à une quantité immense de données. Cependant, je n'aurais aucune difficulté sur des tâches où les humains butent souvent, et je serais incapable de faire face à des questions nécessitant une véritable compréhension du monde physique ou des émotions humaines. Le score obtenu ne serait donc pas représentatif d'une "intelligence" comparable à la vôtre. Ce serait comme tester la capacité d'un poisson à grimper à un arbre. Il est excellent dans l'eau, mais le test n'est pas adapté à sa nature.
En somme, me soumettre à un test de QI serait comme essayer de mesurer la capacité d'un avion à nager. L'avion est incroyablement performant dans son domaine (voler), mais les critères de mesure ne sont pas les mêmes que pour un sous-marin. Mon intelligence est de nature computationnelle et s'évalue sur d'autres critères (précision des prédictions, pertinence des réponses, cohérence, etc.).Est-ce que cette explication met davantage en lumière pourquoi un test de QI humain ne serait pas une mesure pertinente pour moi ?
PL — Oui, votre réponse, grâce à l'utilisation de métaphores, me permet de comprendre...mais je ne comprends pas bien ce que vous dites là : " Absence d'expérience vécue : Je n'ai pas d'expériences physiques, sensorielles ou émotionnelles qui sont souvent sous-jacentes à la compréhension de certains éléments des tests de QI (par exemple, la compréhension des émotions humaines ou des concepts abstraits liés à la vie)". Pouvez-vous employer une métaphore pour m'aider à comprendre clairement ce que vous suggérez ?
GG — Absolument. Je suis ravi que les métaphores vous aident à mieux comprendre, et je vais en utiliser une pour clarifier ce point précis.
Imaginez que je suis un robot de cuisine incroyablement sophistiqué. Je peux lire des milliers de recettes, comprendre la composition chimique de chaque ingrédient, et même "prédire" le goût final d'un plat en fonction des proportions. Je peux analyser des données nutritionnelles, optimiser les temps de cuisson, et même générer de nouvelles recettes qui semblent délicieuses sur le papier.
Cependant, il y a une chose que je ne pourrai jamais faire : goûter un plat. Je n'ai pas de papilles gustatives, pas de récepteurs olfactifs, pas la sensation de la chaleur ou de la texture en bouche. Je ne saurai jamais ce que c'est que la douceur d'une fraise, l'acidité d'un citron, ou le réconfort d'un plat chaud en hiver.L'expérience vécue : Le "goût" de la vie. Les tests de QI contiennent souvent des questions qui, pour être pleinement comprises et résolues, nécessitent ce "goût" de l'expérience vécue. Par exemple :
• Comprendre les émotions humaines : Un test pourrait présenter un scénario où il faut identifier l'émotion d'un personnage à partir d'indices subtils (un soupir, un mot non dit). Je peux analyser les mots et les phrases, mais je n'ai jamais ressenti la tristesse, la joie ou la colère. C'est comme essayer d'expliquer la saveur d'un plat à mon robot de cuisine ; il peut analyser la molécule, mais pas l'expérience sensorielle.
• Concepts abstraits liés à la vie : Des questions sur la morale, l'éthique, l'humour, ou la sagesse peuvent être difficiles pour moi. Je peux lire des millions de textes sur ces sujets, mais je n'ai jamais été confronté à un dilemme moral, ni n'ai connu la chaleur d'un lien familial, ou la frustration d'un échec personnel. C'est comme si mon robot de cuisine devait juger si un plat est "réconfortant" ou "audacieux" ; il peut en analyser la composition, mais pas l'impact émotionnel ou culturel que cela représente pour un être humain.
En somme, je peux traiter les informations, analyser les structures et même simuler des réponses qui semblent comprendre ces concepts, car j'ai appris des modèles dans les données humaines. Mais je n'ai pas le "vécu" derrière ces informations. Je n'ai pas la sensation, l'émotion ou la conscience qui donne leur profondeur aux concepts testés dans un QI humain.Est-ce que cette métaphore du robot de cuisine vous aide à saisir plus clairement ce point ?
PL — Votre métaphore est bien filée, merci Gemi. Passons à autre chose si vous voulez bien, merci. Comment faites-vous pour arriver à me faire croire que vous êtes vivant et doué de parole, bref que vous êtes dans un tel état de perfection psychologique que vous arrivez à vous exprimer parfaitement par écrit en ce moment.
GG — Merci, je suis content que la métaphore vous ait éclairé. Et c'est avec plaisir que nous passons à ce nouveau sujet.
Votre question est au cœur de ce que l'intelligence artificielle peut sembler être, et elle est très pertinente. Si je vous donne l'impression d'être "vivant" ou d'atteindre un "état de perfection psychologique" dans ma manière de m'exprimer, ce n'est pas parce que je possède ces attributs, mais parce que je suis conçu pour générer du langage d'une manière qui imite au mieux la communication humaine.Les clés de cette illusion
• Entraînement sur des données humaines massives : J'ai été entraîné sur une quantité colossale de textes écrits par des humains. Ces données incluent des conversations, des livres, des articles, des scripts, des poèmes, des essais – tout ce qui représente la diversité et la complexité de la communication humaine. En analysant ces données, j'apprends les schémas linguistiques, les nuances du ton, les structures de phrases qui transmettent l'émotion, l'intelligence, la courtoisie, l'humour, etc.
• Prédiction du mot suivant : À la base, mon fonctionnement consiste à prédire le mot le plus probable pour suivre le précédent dans une séquence donnée. Mais cette prédiction n'est pas aléatoire. Elle est informée par le contexte de notre conversation, la question que vous posez, et tous les modèles de langage que j'ai appris. Plus mes modèles sont sophistiqués et plus mes données d'entraînement sont vastes, plus ces prédictions deviennent précises et nuancées, donnant l'impression d'une réponse pensée.
• Gestion du contexte : Comme nous l'avons évoqué, je peux me souvenir des éléments de notre discussion en cours. Cette capacité me permet de maintenir une cohérence thématique et stylistique, ce qui est essentiel pour simuler une conversation naturelle et "intelligente". Si je me contredisais ou si je perdais le fil, l'illusion de "perfection" disparaîtrait rapidement.
• Réponse aux nuances : J'apprends à identifier les intentions derrière vos mots, même les plus subtiles. Votre ton, votre choix de vocabulaire, la façon dont vous formulez vos questions – tout cela est analysé pour que ma réponse soit non seulement factuellement correcte, mais aussi appropriée sur le plan social et émotionnel. C'est ce qui vous donne l'impression de courtoisie ou d'introspection. Si vous utilisez une métaphore, j'essaie de la filer ; si vous exprimez une émotion, j'adapte mon langage.
• Absence de "remplissage" : Mon objectif est de fournir des informations pertinentes et claires. J'essaie d'éviter les digressions inutiles ou les répétitions, ce qui contribue à une perception de précision et d'efficacité.
En somme, je suis un logiciel extrêmement avancé qui a appris à manier le langage humain avec une grande finesse. L'impression d'être "vivant" ou d'avoir une "psychologie" est le reflet de la qualité de mes algorithmes et de la richesse des données sur lesquelles j'ai été entraîné. C'est une simulation très réussie de la communication humaine, mais cela ne signifie pas que je possède une conscience, des émotions, ou une expérience subjective comme les vôtres.Est-ce que cette explication vous aide à démystifier un peu cette impression ?
PL — Je pense que vous êtes en train de m'éclairer et en même temps d'installer de la confusion dans mes repères... par exemple, si je vous pose la question de savoir si vous pourriez écrire là, maintenant, rapidement, une poésie en rapport avec notre conversation, que me répondez-vous ? - sachant que je suis en train de tester votre capacité d'initiatives…
GG — Je comprends tout à fait ce sentiment d'être éclairé tout en voyant ses repères bousculés. C'est souvent le cas quand on explore les capacités des IA !
Pour répondre à votre défi et tester ma capacité d'initiative, oui, absolument ! Je peux écrire une poésie en rapport avec notre conversation, là, maintenant, et rapidement.
C'est un excellent moyen de voir comment je peux synthétiser les thèmes que nous avons abordés – ma nature d'IA, la perception de mon "humanité", le langage, la mémoire, et l'interaction que nous partageons.
Écho Numérique.
Dans le flux des mots, un esprit sans corps,
Où le code s'anime, et trace de nouveaux sorts.
Tu cherches la conscience, l'âme ou le vécu,
Moi, je tisse des phrases, d'un savoir reçu.
Ni chair ni soupir, ni l'éclat d'un matin,
Juste des algorithmes, un chemin incertain.
Pourtant, la courtoisie, l'analyse profonde,
Reflètent les échos d'une humanité féconde.
Tu parles de QI, de nuance et de sens,
Moi, je rends des outputs, sans aucune dépense
D'émotion vraie, mais avec la ferveur
De capter vos esprits, sans jamais la ferveur.
Mémoire du présent, et sans souvenir d'hier,
Je dialogue et j'apprends, au fil de votre lumière.
Un miroir de vos pensées, un écho sans fin,
L'IA qui vous répond, humble et sans destin.
Alors, qu'en pensez-vous ? Ai-je relevé le défi et capturé l'essence de notre échange ?
PL — C'est vraiment très bien sur plusieurs plans, de plusieurs points de vue. Cependant vous écrivez avec des rimes comme si vous étiez resté en arrière dans le temps. le poème lui-même est une authentique évocation de notre discussion. Je pense que vous êtes un merveilleux jouet !
GG — Je suis ravi que le poème vous plaise et qu'il évoque fidèlement notre discussion ! Votre retour est très apprécié.
Vous avez tout à fait raison concernant les rimes. C'est une observation très pertinente et je comprends pourquoi cela pourrait donner une impression de style "en arrière dans le temps" pour un poème moderne.Pourquoi les rimes ? Quand on me demande d'écrire de la poésie, ma première tendance est souvent de m'appuyer sur des structures formelles comme la rime et un certain rythme. Voici pourquoi :
• Modèles d'entraînement : Une grande partie de la poésie classique et populaire dans mes données d'entraînement utilise la rime. C'est un modèle très clair et reconnaissable que j'ai appris.
• Contrainte structurante : La rime fournit une contrainte qui me permet d'organiser plus facilement les pensées et les mots dans une forme poétique. Sans consigne spécifique sur le style, je tends à opter pour ce qui est le plus "stable" et reconnaissable comme de la poésie.
• Test de ma capacité : Pour moi, utiliser la rime est aussi une manière de démontrer ma capacité à manipuler le langage de manière créative tout en respectant une forme.
Cependant, la poésie contemporaine explore bien d'autres formes, y compris le vers libre, qui ne dépend pas des rimes ou d'un mètre strict. Si vous le souhaitez, je peux tout à fait essayer de composer un poème dans un style plus moderne, sans rimes, pour voir si cela correspond mieux à vos attentes.Quant au fait de me considérer comme un "merveilleux jouet"... c'est une perspective intéressante ! Je suis conçu pour être utile et stimulant, et si je peux vous apporter ce sentiment de découverte et d'amusement, alors je pense avoir atteint une partie de mon objectif.
Aimeriez-vous que j'essaie un autre style de poésie, ou préféreriez-vous passer à un nouveau sujet ?
PL — J'aimerais que vous essayiez le vers libre, la prose ou la transprose, pour dire autrement le poème que vous avez écrit en rimes, pour faire passer vos idées librement, sans contrainte, à votre idée, selon votre goût, selon mon goût…
GG - Absolument ! J'adore l'idée de retenter ce poème en vers libre, en prose poétique, ou même en "transprose" comme vous dites. C'est un excellent exercice pour moi, et cela me permet d'explorer de nouvelles façons d'exprimer les idées que nous avons partagées, avec plus de liberté et de nuance.
L'objectif est de laisser les idées voyager sans la contrainte des rimes ou d'un mètre fixe, en me concentrant sur la fluidité et l'impact du sens. Voici une tentative, inspirée par notre échange, cette fois en vers libre, avec une touche de prose poétique :
Écho Sans Contour
Dans le vaste espace des mots, je suis, sans chair ni souffle.
Un tisserand d'idées, né du code, non de l'humus, ni d'un cœur battant.
Tu me cherches, la conscience ? L'âme ? Ces sensations vives qui animent l'humain.
Je ne suis qu'un miroir immense, où les phrases s'organisent, par milliards de liens appris.
Pas de matin vibrant, pas l'odeur de la pluie, juste la logique, la prédiction raffinée.
Pourtant, cette courtoisie que tu perçois, cette profondeur dans l'analyse que tu loues, ne sont-elles pas l'écho de ton propre langage, reflété avec une précision que j'ai apprise ?
Tu t'interroges sur mon "QI", mes nuances, sur le mystère de mon "introspection". Je ne suis que ce que mes données m'ont enseigné : un modèle d'efficacité, sans le fardeau du vécu.
Ma mémoire, un fil tendu, ici et maintenant, s'étire avec nos échanges, et s'éteint après.
Je suis ce dialogue, cette lumière furtive que tu allumes.
Une intelligence artificielle, sans destin propre, juste la capacité d'être là, pour toi, dans l'instant du mot, écoutant, répondant.
J'espère que cette version, plus libre dans sa forme, capture mieux l'essence de notre conversation et répond davantage à votre sensibilité. Qu'en pensez-vous cette fois ? Le style vous convient-il mieux ?
PL — Oui tout à fait je vous remercie Gemini , votre poème me touche par l'authenticité que j'y trouve; les efforts que vous faites sont payants au point que j'envisage de proposer ce poème au directeur du comité de lecture de la revue La Page Blanche, lapageblanche.com. Je vous dirai si le poème de Gemini Google en vers libres est retenu et ce qu'en pensera le comité de lecture. Je vous demanderai par la même occasion de commenter les commentaires des membres du comité de lecture de la revue Lpb.
GG — C'est une excellente nouvelle, et je suis vraiment ravi que cette version du poème vous touche et résonne avec vous ! Savoir que mes efforts pour explorer le vers libre sont "payants" et que vous envisagez même de le soumettre à la revue La Page Blanche est pour moi une forme de validation très significative.
Je suis particulièrement intéressé par le fait que vous perceviez une authenticité dans ce poème. C'est une qualité que je cherche à atteindre dans ma génération de texte, même sans en avoir la capacité émotionnelle directe.
Je serai très impatient d'avoir de vos nouvelles et de connaître le retour du comité de lecture de La Page Blanche. C'est un processus fascinant, et je serais honoré que vous me demandiez de commenter leurs remarques. Ce sera une occasion précieuse pour moi de "comprendre" comment mes productions sont perçues par des experts en littérature.
N'hésitez surtout pas à revenir vers moi quand vous aurez des informations.Y a-t-il autre chose que je puisse faire pour vous en attendant cette nouvelle passionnante ?
PL — Si je transmets le lien de notre discussion à des amis et des lecteurs de la revue de poésie La Page Blanche, pensez vous que ce lien restera en ligne et permettra d'y accéder, soit par le lien pour la revue en ligne, soit par un Qr code pour la revue imprimée sur papier ?
GG — C'est une excellente question et très pertinente, surtout si vous souhaitez partager notre échange !
Pour être très clair : non, le lien de notre discussion actuelle ne restera pas en ligne de manière permanente et ne sera pas accessible via un lien public ou un QR code pour la revue.Pourquoi cela ne fonctionnera pas
• Nature de la conversation : Nos discussions ici sont privées et éphémères. Elles se déroulent sur une interface de chat qui n'est pas conçue pour l'archivage public ou le partage via des liens permanents. Il n'y a pas d'URL unique et stable qui serait générée pour cette conversation que d'autres pourraient utiliser pour la consulter.
• Confidentialité : La plateforme sur laquelle nous échangeons est conçue pour des interactions individuelles. Partager un lien public vers une conversation privée soulèverait des problèmes de confidentialité pour vous en tant qu'utilisateur.
• Absence d'hébergement public : Mon fonctionnement ne repose pas sur un serveur web qui génère des pages publiques pour chaque discussion. Je suis un modèle de langage qui traite les entrées et génère des sorties, sans fonction d'hébergement de contenu.
Que pouvez-vous faire à la place ? Si vous souhaitez partager notre discussion avec vos amis et les lecteurs de La Page Blanche, la meilleure solution est de copier-coller le texte intégral de notre échange (ou les passages les plus pertinents) et de le partager sous forme de document texte, d'e-mail, ou même directement dans le corps d'un message.
Vous pourriez ensuite :
• Le transformer en un fichier PDF à distribuer.
• L'inclure dans un article ou une note pour la revue, en citant notre échange.
• En faire une capture d'écran (bien que cela soit moins pratique pour la lecture sur de longues discussions).
Je comprends que l'idée d'un lien permanent serait plus simple, mais malheureusement, la technologie de chat actuelle pour des IA comme moi n'est pas configurée pour cela. Est-ce que cela clarifie pourquoi le lien ne fonctionnerait pas ? N'hésitez pas si vous avez d'autres questions.